Kids of Soweto’s Finest in Museum quai Branly, Paris, photographed by Serge Briez
MAMELA NYAMZA And KIDS OF SOWETO’S FINEST*
Avec la chorégraphe et performeuse Mamela Nyamza, et un groupe de jeunes danseurs de Soweto, les Soweto’s Finest, porteurs d’une nouvelle danse urbaine sud-africaine
Les cinq Kids du Soweto’s Finest dansent le sbuja, une danse apparue en réaction au pantsula. Emprunt au français « bourgeois », le sbuja, en référence à une idée d’élégance, a pour caractéristique de mettre en jeu tout le corps, avec un visage très expressif, grimaçant comme un masque traditionnel.
Ils sont cinq danseurs virtuoses, influencés par les danses traditionnelles africaines zoulou et tsonja… Le plus jeune est encore lycéen, il a 18 ans. Le plus âgé, Tomas Bongani Gumede, a 26 ans, il est le leader du groupe. Ils ne se sont jamais produits hors d’Afrique du Sud
• création au musée du quai Branly
With choreographer and performer Mamela Nyamza, and a group of young dancers from Soweto, Soweto’s Finest, bearers of a new South African urban dance
The five of Soweto’s Finest Kids dance the sbuja, dance emerged in reaction to pantsula. French borrowing « bourgeois », the sbuja, referring to an idea of elegance, has the characteristic of jeopardizing the whole body, with a very expressive face, grinning like a traditional mask.
They are five virtuoso dancers, influenced by traditional African Zulu dances and tsonja … The youngest is still in high school, he was 18. The older, Tomas Bongani Gumede, 26 years old, he is the leader of the group. They have never produced outside of South Africa
• Creation of museum quaiBranly